Visite guidée Victor Hugo      


VICTOR HUGO

visite spectacle sur commande à partir de 10 participants me contacter...

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réservation 06 63 37 88 58


Le 14 février 1871 Victor Hugo âgé de 69 ans arrive à Bordeaux en sa qualité de député. Tous les hôtels étant complets, il occupera un meublé au 37 rue de la Course, alors que son fils Charles est logé au 13 rue Saint-Maur, près du Jardin Public. L' Assemblée Nationale siège exceptionnellement au Grand-Théâtre où le député Victor Hugo prend la parole au cours de séances particulièrement houleuses.

Vous vivrez ces jours avec lui, en suivant un parcours ponctué de déclarations tonitruantes, de textes remarquables et d'écrits poignants. Les plus beaux textes vous seront interprétés à chacune des haltes de votre parcours par la comédienne Béatrice Aragones.

Sur réservation au 06 63 37 88 58

Départ entre les deux horloges sur la Place de la Comédie à Bordeaux face au Grand Théâtre Opéra de Bordeaux

Visite possible privatisée sur demande pour des groupes à partir de 10 participants

Tarif général : 15 euros

Tarif réduit : étudiants, demandeurs d'emploi, collégiens, lycéens et foyers non imposables : 10 €

Gratuit : moins de 10 ans

*Attention il s'agit d'une visite itinérante marche ou station debout pendant 1h30 environ, départ à l'heure*

Accessible PMR en fauteuil avec accompagnant (me le signaler à l'avance)


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Partenaires :

D'après l'ouvrage de Jean-François Chatelier, Collection Le temps d'un regard (disponible en fin de visite sur demande) et avec les conseils bienveillants de Jacques Zacharie

Association culturelle MOLISA

https://decouvrirbordeaux.com/

- Extraits de textes, discours et poèmes

"Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l'action."


Carnets intimes du député Hugo 16 février 1871 « L'ovation que m'a faite le peuple est regardée par la majorité comme une insulte pour elle. A ma sortie on m'a averti que la foule m'attendait sur la grande place. Je suis sorti pour échapper à l'ovation par le côté du palais (grand théâtre) et non par la façade, mais la foule m'a aperçu et un immense flot de peuple m'a tout de suite entouré en criant : Vive Victor-Hugo. J'ai crié Vive la République ....Tous y compris la Garde nationale et les soldats de la ligne, ont crié : Vive la République. J'ai pris une voiture que le peuple a suivie ».




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